Nouvelle publiée dans le recueil "Naïs Micoulin", 1884.
05 septembre 2018
"Nantas", 1884, Chapitre I, Émile Zola (1840-1902)
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 05 septembre 2018, 14:31
05 septembre 2018
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 05 septembre 2018, 14:31
Nouvelle publiée dans le recueil "Naïs Micoulin", 1884.
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 05 septembre 2018, 14:19
Nouvelle publiée dans le recueil "Naïs Micoulin".
05 décembre 2016
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 05 décembre 2016, 12:44
L'Étranger est un roman d'Albert Camus, paru en 1942. Il prend place dans la tétralogie que Camus nommera « cycle de l'absurde » qui décrit les fondements de la philosophie camusienne : l'absurde. Cette tétralogie comprend également l'essai intitulé Le Mythe de Sisyphe ainsi que les pièces de théâtre Caligula et Le Malentendu. Le roman a été traduit en quarante langues et une adaptation cinématographique a été réalisée par Luchino Visconti en 1967.
Le style
L'usage quasi-systématique de la première personne du singulier, tout au long du roman, incite le lecteur à s'identifier au personnage. Le ton détaché de son monologue restitue le paysage mental de Meursault tout en aidant le lecteur à pénétrer dans l'univers de Camus. Libre à lui ensuite d'approfondir sa lecture pour une compréhension plus exhaustive de la philosophie de l'auteur. L'écriture du roman, particulièrement neutre et blanche, fait la part belle au passé composé, dont Sartre dira qu'il « accentue la solitude de chaque unité phrastique ». Ce style ajoute donc à la solitude de ce personnage face au monde et à lui-même. On note la tendance de Camus à jeter des passerelles entre ses différentes œuvres. En prison, pendant que son procès se prépare, Meursault remarque un article de journal relatant un fait divers qui constitue en fait l'intrigue de la pièce de théâtre Le Malentendu. De même, quelques années plus tard dans La Peste, est évoquée « une arrestation récente qui avait fait du bruit à Alger. Il s'agissait d'un jeune employé de commerce qui avait tué un Arabe sur une plage ».
29 mars 2016
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 29 mars 2016, 23:33
" La Nuit de mai ", Poésies nouvelles, 1835, par Maria Casarès et Gérard Philippe.
" Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots ".
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 29 mars 2016, 15:05
22 mars 2016
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 22 mars 2016, 21:36
" LE GRAND COMBAT ", poème de Henri Michaux, Qui je fus, 1927
Il l'emparouille et l'endosque contre terre ; Il le rague et le roupéte jusqu'à son drâle ; Il le pratéle et le libucque et lui baroufle les ouillais ; Il le tocarde et le marmine, Le manage rape à ri et ripe à ra. Enfin il l'écorcobalisse. L'autre hésite, s'espudrine, se défaisse, se torse et se ruine. C'en sera bientôt fini de lui ; Il se reprise et s'emmargine... mais en vain Le cerveau tombe qui a tant roulé. Abrah ! Abrah ! Abrah ! Le pied a failli ! Le bras a cassé ! Le sang a coulé ! Fouille, fouille, fouille, Dans la marmite de son ventre est un grand secret. Mégères alentours qui pleurez dans vos mouchoirs; On s'étonne, on s'étonne, on s'étonne Et on vous regarde, On cherche aussi, nous autres le Grand Secret.
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 22 mars 2016, 20:56
Cette fable de Jean de la Fontaine relate les querelles de deux coqs dont l'orgueil est comparable aux héros de la Guerre de Troie. Cependant leur attitude laisse entendre qu'il s'agit plus d'une parodie que d'une glorification de leur combat.
29 janvier 2016
Par Serge Archimbaud (Lycée Marguerite Yourcenar Morangis (91)) le 29 janvier 2016, 17:14
Chapitre XVIII (18) : Ce qu'ils virent dans le pays d'Eldorado.
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